Sorties presse
Publié le Avr 08, 2020
Seule 1 entreprise française sur 2 de 500 salariés et plus a recours à la signature électronique

Seule 1 entreprise française sur 2 de 500 salariés et plus a recours à la signature électronique

Oodrive, leader européen de la gestion des données sensibles, s’est intéressé à l’adoption de la signature électronique dans les entreprises de 500 salariés et plus.

Paris, le 8 avril — Oodrive, leader européen de la gestion des données sensibles, s’est intéressé à l’adoption de la signature électronique dans les entreprises de 500 salariés et plus. Menée par OpinionWay, son étude révèle une très bonne perception des bénéfices apportés par une telle solution en termes de gain de temps comme d’efficacité. Pour autant, seule 1 entreprise sur 2 (55 %) de 500 salariés et plus est aujourd’hui utilisatrice. Une adoption qui pourrait s’accélérer avec la crise actuelle, dans laquelle la signature électronique apparaît comme un dispositif précieux, voire indispensable, pour limiter les blocages de l’activité.

Une solution plébiscitée…

L’étude d’Oodrive laisse apparaître un fort plébiscite de la signature électronique de la part de ceux qui l’utilisent déjà dans leur entreprise. Ainsi, cette solution est reconnue comme un facilitateur au quotidien par 63 % des cadres et 9 sur 10 s’en disent satisfaits. 54 % reconnaissent d’ailleurs qu’elle ne présente aucun point faible !

Sa simplicité d’utilisation, reconnue par 89 % des répondants, est sans aucun doute l’une des raisons principales de son adoption. Tout comme le gain de temps qu’elle permet, cité comme le premier bénéficie identifié par les utilisateurs (89 %). C’est également l’avis des initiateurs de cette solution dans l’entreprise (79 %), qui placent juste derrière la sécurité des données (61 %). Quant aux cadres qui n’ont pas encore l’opportunité de l’utiliser, ils sont 60 % à se déclarer intéressés par un tel outil.

… Mais qui peine encore à s’imposer

Malgré un engouement évident et alors que 87 % des cadres doivent signer plusieurs fois par semaine, seuls 8 % sont passés au full digital. La moitié de ceux qui sont équipés d’une solution dématérialisée alternent encore entre versions papier et digitale, selon la nature des documents. Ainsi, la signature électronique est principalement utilisée pour signer des documents administratifs Internes (55 %) contre seulement 19 % pour les contrats clients en BtoB.
Le fait est qu’actuellement, 55 % des entreprises de 500 salariés et plus seulement sont utilisatrices d’une telle solution. Preuve que si la digitalisation des processus avance, elle est loin d’être une réalité dans toutes les organisations.

Des freins à lever pour accélérer l’adoption de la signature électronique

68 % des collaborateurs qui n’ont pas accès à la signature électronique estiment que leur entreprise n’est pas encore prête pour ce stade de digitalisation. 39 % d’entre eux considèrent également que ce n’est pas une priorité pour elle. D’ailleurs, la moitié des sociétés de 500 salariés et plus affirme que la signature papier ne présente aucune limite.

Pour celles qui sont intéressées par son implémentation, 71 % souhaitent être soutenues par leur prestataire au travers d’un support d’accompagnement actif tout au long du projet : du déploiement jusqu’à la maîtrise parfaite de l’outil par ses utilisateurs. 54 % d’entre elles attendent également de leur éditeur qu’il garantisse la conformité réglementaire de sa solution.

 
« Les entreprises françaises qui expérimentent depuis quelque temps déjà la signature électronique ont parfaitement identifié ses atouts, mais n’en ont pas encore un usage récurrent. Celles qui n’ont pas encore sauté le pas sont également conscientes de ses avantages, mais ne font pas forcément de son adoption une priorité. Toutefois, la crise sanitaire actuelle pourrait bien les faire changer d’avis. D’autant que les habitudes de télétravail prises aujourd’hui devraient perdurer une fois le confinement levé. Avec une activité postale très réduite, la signature électronique se révèle un atout de taille pour les entreprises qui l’ont déjà adoptée et pourrait donc être plus largement plébiscitée dans les semaines à venir. L’accompagnement des éditeurs et la conformité des solutions seront clés pour réussir cette transformation », souligne Stéphane Ankaoua, COO d’Oodrive.